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Re: Срочно (до 5 мая)! помогите ответить на вопросы о войне 1812г.

От: Жан Люк
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Комментарий

1) Сколько нашла нужным 2) Voici quelques coutumes et traditions Cosaques. Ce n’est en aucun cas un essai d’encyclopédie anthropologique ; juste quelques exemples. Nous espérons que cette section, lorsqu’elle sera plus complète sera mieux organisée. Un dicton Cosaque dit : « Les Cosaques sont comme les enfants, donnez leur beaucoup de nourriture; ils mangeront tout, ne leur donnez en qu’un peu, ils seront hereux de ce qu’ils ont » En matière de cuisine, les Casques sont simples et très inventifs. Il semble qu’ils puissent survivre n’importe où. Lorsque, sur le terrain, il n’y avait pas d’ustensiles métalliques, ils se débrouillaient pour faire leur cuisine dans de simples récipients de bois, y mettant des pierres brûlantes jusqu’à ce que ce soit cuit ou l’eau bouillante. L’entraînement militaire commençait à la naissance du Cosaque. Dès la venue au monde, une flèche, (plus tard une balle) était posée sur sa bouche et un arc, (plus tard un fusil) mis dans sa main. Au septième jour, il était baptisé et au quarantième, revêtu d’une cotte de maille et un petit sabre accroché à sa taille. Après quoi son Père le rendait à sa Mère n lui disant « Je te présente un Cosaque ». Lorsqu’un enfant faisait ses dents, il était conduit à cheval à l’Eglise et un service en l’Honneur de Saint Jean le Guerrier était célébré, ainsi le garçon deviendrait courageux et servirait Dieu et la foi Orthodoxe. Les enfants de trios ans montaient seul à cheval dans les jardins et des gamins pas plus vieux que cinq ans parcouraient les rues à cheval, tiraient à l’arc et « jouaient à la guerre ». Régulièrement, tous les jeunes Tcherkesses sortaient de la ville, se divisaient en deux groupes égaux et organisaient une bataille générale avec des sabres de bois et des lances de roseau. Ils prenaient des bannières et faisaient des prisonniers. Lorsqu’ils rentraient en ville, l’Ataman lui même se déplaçait le plus souvent pour féliciter les plus braves. L’art de l’équitation, l’adresse et la coordination, la pratique du tir de précision se transmettaient de Père en fils. Tolstoï disait que les deux premiers mots prononcés par un jeune Cosaque étaient « pou » (tirer) et « tchou » (monter à cheval) Les Cosaques du Don, ainsi que les Zaporogues paraissaient particulièrement dépenaillés lorsqu’ils allaient au combat et leurs armes semblaient rouillées ou hors service. En fait, ils mettaient alors leurs plus vieux effets et cassaient le brillant de leurs armes afin d’être moins visibles. Durant la campagne, manoeuvre ou combat, les Cosaques étaient réprtis en groupes de combat appelés « suma », littéralement « sac ». Dix combattants formaient un « suma », dans lequel ils conservaient les réserves d’approvisionnement et de matériel de combat du groupe. C’est de là que vient l’expression typiquement Russe « odnossum » : « ceux qui partagent le même sac » qui signifie « frères d’armes » avec lesquels les joies et les dangers sont partagés. Au printemps, les Cosaques du Don avaient pour coutume de se rassembler dans leur ville principale pour former le « Kroug », le cercle ou conseil Cosaque, afin d’élire l’Ataman Militaire et ses adjoints. Les décisions du Kroug étaient définitives et sans appel. Si, sur des sujets très importants, il n’y avait pas de majorité lors de l’assemblée, le « Kroug » en appelait au Prince Blanc (le Tsar) dont la sentence faisait alors loi. 3) Из казачьей французы ничего не переняли. Только вот известно, что штаны после той войны их кавалеристы стали ностить коричневого цвета. Так было незаметно, если от испугу вдруг француз в штаны наложил бы.

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